Article publié le 27/10/2014
Agé de 20 ans, l’archer du COAD Daumeray a obtenu cet été la médaille de bronze par équipes en arc à poulies aux championnats d’Europe handisport à Nottwil en Suisse. Il espère désormais se qualifier l’an prochain pour les championnats du monde.
Agé de 20 ans, l’archer du COAD Daumeray a obtenu cet été la médaille de bronze par équipes en arc à poulies aux championnats d’Europe handisport à Nottwil en Suisse. Il espère désormais se qualifier l’an prochain pour les championnats du monde.
Propos recueillis par Félix Chiocca
Crédit photo : Thierry Quehen / FFH
Propos recueillis par Félix Chiocca
Crédit photo : Thierry Quehen / FFH
Comment as-tu vécu tes premiers championnats d’Europe ?
C’était ma première compétition internationale. Heureusement il y avait avec moi dans l’équipe Philippe Horner et Eric Pereira qui ont respectivement 54 et 52 ans. Je n’étais donc pas seul et j'étais entouré de personnes d'expériences. Cela m’a beaucoup servi et ils m’ont rassuré. j'ai eu de l’appréhension, mais j'avais la chance d’avoir près de moi Brigitte Duboc qui est championne du monde. L’encadrement et mon coach Franck Haudoin qui, même s’il était resté en France, m’ont beaucoup rassuré.
C’est donc ton meilleur souvenir jusqu’ici en compétition ?
Bien sûr. C’est le meilleur, surtout quand on décroche une médaille dans un match pour la médaille de bronze où, si on perd, on revient bredouille. C’était contre la Pologne et en demi-finale, nous avions été battus par la Turquie qui a perdu en finale face à l’Italie.
Qu’aimes-tu dans la compétition ?
C’est le mental et l’esprit de combativité entre archers. On essaie de se tirer la bourre.
Que ressens-tu quand tu réussis un 10 ?
Je me dis qu’il faut que j’en fasse d’autres derrière.
A quel âge as-tu commencé le tir à l’arc ?
J’avais sept ans et j’ai rencontré la présidente du club handisport d’Angers qui m’a proposé de venir essayer. J’y ai pris goût et cela m’a intéressé. Au fur et à mesure, je me suis mis à la compétition.
Qu’aimes-tu dans ton sport ?
C’est la précision et j’adore le poulies pour cette raison.
Qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Il y a trop d’individualisme chez certains archers.
Découvrez la suite du portrait de Bryan Leloup dans le nouveau numéro du magazine "Le Tir à l'Arc
C’était ma première compétition internationale. Heureusement il y avait avec moi dans l’équipe Philippe Horner et Eric Pereira qui ont respectivement 54 et 52 ans. Je n’étais donc pas seul et j'étais entouré de personnes d'expériences. Cela m’a beaucoup servi et ils m’ont rassuré. j'ai eu de l’appréhension, mais j'avais la chance d’avoir près de moi Brigitte Duboc qui est championne du monde. L’encadrement et mon coach Franck Haudoin qui, même s’il était resté en France, m’ont beaucoup rassuré.
C’est donc ton meilleur souvenir jusqu’ici en compétition ?
Bien sûr. C’est le meilleur, surtout quand on décroche une médaille dans un match pour la médaille de bronze où, si on perd, on revient bredouille. C’était contre la Pologne et en demi-finale, nous avions été battus par la Turquie qui a perdu en finale face à l’Italie.
Qu’aimes-tu dans la compétition ?
C’est le mental et l’esprit de combativité entre archers. On essaie de se tirer la bourre.
Que ressens-tu quand tu réussis un 10 ?
Je me dis qu’il faut que j’en fasse d’autres derrière.
A quel âge as-tu commencé le tir à l’arc ?
J’avais sept ans et j’ai rencontré la présidente du club handisport d’Angers qui m’a proposé de venir essayer. J’y ai pris goût et cela m’a intéressé. Au fur et à mesure, je me suis mis à la compétition.
Qu’aimes-tu dans ton sport ?
C’est la précision et j’adore le poulies pour cette raison.
Qu’est-ce que tu aimes le moins ?
Il y a trop d’individualisme chez certains archers.
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